| Concepts | Terminal du désert du Ferrailleur | |
| Rareté | ||
| Type | Reliques, Mains | |
| Source | Caverne de la corrosion du Port Mirétoiles Synthèse de relique de l’Omni-synthétiseur | |
| Ensembles de reliques | Effets d’ensembles | 2 pièces: Augmente les DGT imaginaires de 4 pièces: Les chances de coup critique du porteur augmentent de |
| Niveau max | 15 | |
| Histoire | Une sorte de déchet multifonction capable de détecter les radiations ionisantes dans l’air. Peut aussi parler comme un malpropre. |
| Sommaire |
| Stats |
| Gallery |
| Histoire |
Stats
| Stats de base | |
352.8 | |
| Stats secondaires | |
203.22 ~ 228.62 ~ 254.03 | |
101.61 ~ 114.31 ~ 127.01 | |
101.61 ~ 114.31 ~ 127.01 | |
20.74% ~ 23.33% ~ 25.92% | |
20.74% ~ 23.33% ~ 25.92% | |
25.92% ~ 29.16% ~ 32.4% | |
12 ~ 13.8 ~ 15.6 | |
15.55% ~ 17.5% ~ 19.44% | |
31.1% ~ 34.99% ~ 38.88% | |
20.74% ~ 23.33% ~ 25.92% | |
20.74% ~ 23.33% ~ 25.92% | |
31.1% ~ 34.99% ~ 38.88% | |
Gallery
Histoire
| Avant que Talia ne devienne le « royaume du banditisme », elle était connue comme le « dépotoir de l'univers ». Les vieilles technologies mises au rebut sur les autres planètes devenaient ici de véritables trésors. « Inutile de me demander si j'aime porter un appareil mobile plus lourd que des fers. Il s'est révélé pratique et plus puissant qu'un marteau lors des moments décisifs. » Avec la naissance de Ville-ferraille, les ingénieurs les plus farfelus de Talia trouvèrent enfin un lieu où exposer leurs inventions les plus folles. C'est ainsi que fut créée la « technologie sensorielle », unique à Talia. En combinant un compteur de poussière de césium à un appareil mobile à l'IA facétieuse, ils créèrent le terminal du désert, un outil multifonction fabriqué à partir de déchets abandonnés. L'idée à la base de cette technologie sensorielle est : « Inutile de demander pourquoi ou comment, tout le monde s'en fiche. » « Vous m'avez combinée à un vieux morceau de ferraille ? Vous n'êtes bons qu'à trier les déchets... » La personnalité de l'IA brille toujours par son sérieux et son honnêteté. |

When the pot calls the kettle black