Bride de bête mécanique de Duran

Bride de bête mécanique de Duran
Bride de bête mécanique de DuranConceptsBride de bête mécanique de Duran
RaretéRaritystrRaritystrRaritystr
TypeReliques, Corde de liaison
SourceUnivers parallèle : Extraction d’ornement planaire
Ensembles de reliques
Duran, dynastie des loups
Duran, dynastie des loups
Effets d’ensembles2 pièces: Lorsqu’un allié utilise une ATQ de suivi, le porteur gagne 1 cumul de Mérite, cumulable jusqu’à 5 fois. Chaque cumul de Mérite augmente les DGT infligés par les ATQ de suivi du porteur de 5%. À 5 cumuls, les DGT critiques du porteur augmentent de 25%.
Niveau max9
HistoireCe furent les rênes, les chaînes et les fouets. La première chose que l’on apprenait aux jeunes Borissiens devenus plus grands que les pattes des bêtes de guerre était de toujours bien tenir les rênes dans leurs mains, sous peine de devenir eux-mêmes du bétail asservi, ou pire, de servir de nourriture.

Sommaire
Stats
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Histoire

Stats

+9
Stats de base
Class Effet de Rupture
25.82%
Class Taux de régénération d'énergie
7.75%
Class PV
17.21%
Class ATQ
17.21%
Class DÉF
21.51%
Stats secondaires
Class PV
81.29 ~ 91.45 ~ 101.61
Class ATQ
40.64 ~ 45.72 ~ 50.81
Class DÉF
40.64 ~ 45.72 ~ 50.81
Class PV
8.29% ~ 9.33% ~ 10.37%
Class ATQ
8.29% ~ 9.33% ~ 10.37%
Class DÉF
10.37% ~ 11.66% ~ 12.96%
Class VIT
4.8 ~ 5.2 ~ 5.6
Class Chances de coup critique
6.22% ~ 7% ~ 7.78%
Class DGT CRIT
12.44% ~ 14% ~ 15.55%
Class Chances d'app. des effets
8.29% ~ 9.33% ~ 10.37%
Class RÉS aux effets
8.29% ~ 9.33% ~ 10.37%
Class Effet de Rupture
12.44% ~ 14% ~ 15.55%

Histoire

Dans la langue borissienne, la bride était également appelée assa-chita, ce qui signifie « le livre vivant ».

Lorsque les deux lunes montantes se rencontraient et que le ciel nocturne était au plus lumineux, les maîtres vaudous de la tribu des chasseurs offraient des brides aux enfants de Duran pour symboliser leur entrée dans l'âge adulte. Cette bride immaculée devenait un livre où était consignée l'histoire des combats qu'ils avaient menés tout au long de leurs vies.

Dès la fin de la cérémonie de l'âge adulte, les jeunes borissiens devaient se rendre à la ferme d'armement, puis choisir et apprivoiser leur première monture de combat parmi les « bêtes mécaniques » qui avaient été filtrées et élevées grâce à la sorcellerie génétique. Les bêtes mécaniques qui se nourrissaient des vaincus avaient une agilité, une perception et une férocité stupéfiantes, mais elles étaient considérées comme de simples moutons lorsqu'elles étaient confrontées à leurs futurs maîtres. Sous l'effet de la lune, le sang impétueux qui coulait dans les veines des jeunes borissiens les poussaient à affronter les bêtes mécaniques. Certains mourraient sous le baiser de la bête, ce qui serait le résultat de la lâcheté. D'autres tueraient leurs pairs, c'était la loi du plus fort pour déterminer les plus valeureux... Les jeunes borissiens firent trébucher la monture désirée et attachèrent la bride, incrustée de fouets à pointes neurales, au cou de l'animal. La bête était ensuite assommée par télépathie avec son futur maître et deviendrait aussi docile que si elle avait reçu des centaines de coups de fouet. Lorsque la bête portait volontiers son maître sur son dos, ce qu'on appelait un borissien sorya (guerrier, cavalier) digne de ce nom était né.

Ensuite, la bride du Borissien devenait un registre de guerres, et les rênes allaient progressivement se remplir d'égratignures, de nœuds et d'accessoires.

Les sorya bien entraînés revêtaient une armure membraneuse semblable à une méduse sous la direction d'un yonda (chef, centurion). Ils montaient ensuite à bord des vaisseaux-bêtes capables de passer d'une étoile à l'autre, exploraient différents mondes et juraient de faire des étoiles leur terrain d'élevage au nom de Duran et du Maître de l'Immortalité. Sur la bride, de légères éraflures indiquaient le nombre d'ennemis tués par le propriétaire, les nœuds indiquaient le nombre de campagnes majeures auxquelles il avait participé, et les accessoires (dents humaines, noyaux d'Omnitron...) qui pendaient des rênes étaient considérés comme des butins obtenus lors de violents pillages... Ils étaient la vengeance et les gémissements des vaincus, ainsi que des médailles symboles de puissance pour les borissiens.

Lorsque les montures sous le guerrier périssaient à la guerre, ou lorsqu'un Borissien souhaitait infliger un châtiment, la bride était également attachée autour du visage d'autres êtres vivants.

Leurs cibles étaient généralement des Foxiens, la race d'esclaves exclue du clan en raison de plans de sélection génétique. Ils étaient faibles, sournois, et n'étaient aptes qu'aux basses besognes et aux calculs. Lorsque de rares individus belliqueux émergeaient parmi les Foxiens, le maître de la tête de loup attachait en priorité ces Foxiens avec les brides, les conduisant comme esclaves de guerre pour servir d'avant-garde sur le champ de bataille.

Si tous les esclaves étaient morts et que les armes étaient tordues, la bride pouvait encore servir de fouet si l'on attachait une pointe à son extrémité. Si la bride se brisait et que le guerrier périssait à la guerre avec ses crocs et ses griffes brisés, la bride deviendrait la seule épitaphe et le seul souvenir du borissien...

Tout comme les vieux contes disaient « le prédateur et la proie s'inversent souvent dans la forêt », d'innombrables brides de loups se sont brisées après avoir lutté pendant des millénaires contre Xianzhou dans cette sombre forêt qu'on appelle l'univers. À la fin, ce lien qui reliait les différents clans a été rompu par la flèche acérée de la Chasse, et les borissiens sont eux aussi tombés dans l'ombre des luttes internes et de la décadence générale, s'éloignant de plus en plus de leur fierté d'antan.

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